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 Les tribulations d'une lingère

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Gypsie

Gypsie


Nombre de messages : 660
Date d'inscription : 06/06/2006

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MessageSujet: Les tribulations d'une lingère   Les tribulations d'une lingère EmptyDim 9 Nov - 23:29

Eugenie_gounod a écrit:
Eugénie venait enfin de raccrocher la caravane Royale, cela faisait bien deux semaines qu'elle tentait vainement de les retrouver.
elle en était même venue à maudire sa maîtresse, qui avait absolument voulu qu'elle fasse demi-tour pour aller chercher une robe. La coquetterie d'accord mais là quand même!
En bonne domestique, elle était donc retourner à sémur chercher ladite robe puis avait essayer tant bien que mal de les rattraper, mais voilà, elle avait perdu le morceau de parchemin qui lui indiquait la route prise par la tournée. Alors elle avait écouté les conversations des paysans, qui heureux de al visite du roy, n'en ralait pas moins sur son coût. Jamais content ces frequins, décidement.

Mais eugénie avait un autre problème, la caravanne avancait ben plus vite qu'elle, forcément son âne donnait plus l'impression de reculer que d'avancer...aussi arrivé dans le languedoc, elle le revendit et s'acoquina avec un petit nobliaux du coin qui l'amena à clermont sur son cheval. Arrivé à bon port, Eugénie congédia son amant et retourna voir sa maitresse.

Ne voulant point la déranger, elle posa la robe sur la literie de la Princesse, puis commenca à s'activer pour refaire les malles, attendant voir si la Princesse allait s'apercevoir de son retour.
Armoria a écrit:
Au même étage, dans une chambre transformée en bureau.

Votre Altesse ?

Hmmm ?

La tête blonde resta penchée sur ses parchemins, que la plume grattait avec la vivacité coutumière.

Eugénie est arrivée, Votre Altesse...

La plume suspendit son vol - le temps ne le peut pas, mais une plume, si, voyez l'injustice de la chose - et la tête se releva.

Eugénie ? Oh, la nouvelle est bonne... Tu as tendance à ne point assez serrer mes b...

Interruption, regard vers la porte, un message muet dans les yeux verts : "aucun risque d'être entendue ?" Léger sourire de Forrest.

Vos bandages, en effet, Votre Altesse. Je crains toujours de vous faire mal.

Elle avait sa réponse : aucun risque, sans quoi il aurait parlé de ses affaires.

Bien, va-t'en donc la quérir, qu'elle me baille quelques nouvelles de Bourgogne.
Eugenie_gounod a écrit:
Eugénie qui avait attendu un petit moment, fut surprise quand on vint la querir.

Tiens va voir ta maitresse, elle veut te causer! allez au lieu de me regarder ainsi file!

Obéissante, elle se rendit dans la chambre où se trouvait la princesse. La Pièce avait été en transformé en un bureau; la princesse se trouvait assise, une plume à la main.


Votre altesse, je viens d'arriver et j'ai ramener le hmm paquet...petit coup d'oeil aussi dans la pièce, ses femmes, assurément, n'aimaient pas être entendu.
J'espère que cela ira, car, sauf votre respect, j'en ai bavé pour vous retrouver!
j'ai même du soudoyer un nobliaux pour qu'il m'amène jsuq'ici, mon âne refusait d'avançait sacredieu!

Enfin, me voilà votre altesqse, toujours prête à vous servir, d'ailleur ce me semble que vous avez besoin de mes hmm talents non?


Pour une bonne, eugénie était fort familère avec la grande dame qu'elle servait, mais il faut dire que certains petits, voire gros, secrêt rapproche des gens qui n'ont aucun point commun. Et forte de ses secrêts, Eugénie ne se génait guère, surtout dans l'humeur ronchonne qu'elle était après ce long et périlleux voyage.
Armoria a écrit:
Armoria regarda Eugénie, amusée.

Il est loin le temps où tu osais à peine me parler, ma bonne Eugénie. J'ai besoin de tes services, en effet : Forrest n'ose jamais serrer suffisamment mes bandages, et je peine à le faire moi-même.

Elle se leva, lui tournant le dos pour la laisser délacer sa robe et ainsi accéder auxdits bandages.

Il est temps de passer à la houppelande, je crois : les bandages n'y suffisent plus, même si j'ai somme toue peu grossi.
Eugenie_gounod a écrit:
Armoria lui tourna le dos, voilà il lui fallait faire son office. Ses grandes dames ne sont rien sans leurs petits personnels!

Eugénie se rapprocha donc de la Princesse et se mit à lui delasser la robe. Elle fit cela fort rapidemment, une fois ce ci fait, elle ecarta la robe et vit les bandages


Votre altesse a raison, même s'ils ne sont pas assez serrés, les bandages commencent à ne plus être suffisant pour cacher ce qu'il sont à cacher. Mais je me permettrais de rajouter, votre altesse, qu'il faut que celle-ci se ménage un peu plus maintenant.


tout en disant cela, eugénie avait retiré les bandages et les remettaient en place, fort serrés!
eugénie eut soudain une penée pour sa soeur, qui endurait le même supplice en ce moment, grosse d'un jeune seigneur languedocien. Décidemment, en ce bas monde seul les femmes étaient punis, cruellement, du pêché de chair.


Voilà votre Altesse, je pense que c'est déjà un peu mieux ainsi. Mais effectivement, la houppelande protégerait encore mieux des regards curieux. Mais je n'ai pas eu l'impression que votre secret soit connu, c'est déjà une bonne nouvelle.

Eugénie, avait toujours l'oeilles aux aguets, et il est vrai que voyager une journée ou deux derrière le convoi lui avait permet d'apprendre le ressenti des gens après coup. Et on lui en avait raconté des choses, mais pas sur ce point là, point essentiel s'il en est.
Et puis elle repensa à sa soeur, Margot, eugénie espérait bien qu'elle trouverait époux avant de se trouver fille-mère...cet état lui faisait peur, surtout pour une lingère sans dot, mais de cela elle ne pouvait s'en ouvrir à la princesse. Même si elle ne pourrait se marier sans son consentement evidemment
chassant ses pensées, elel revint au monde présent, sentant le regard de la Princesse


Pardon votre Altesse, je susi un peu ailleurs ce soir, je m'en excuse. Il faut dire que...je m'inquiète un peu de ma condition de fille...enfin...Votre Altesse à t'elle besoin d'autre chose?
Armoria a écrit:
Me ménager ? Moi ? Eugénie, si je savais me ménager, tu serais la première prévenue...

Bref regard sur sa silhouette. En se tenant droite, bien sanglée, avec le secours de l'astucieuse robe qui détournait les regards, c'était parfait. Encore inspouçonnable.

Il n'y a pas que les bandages, tu sais... Le fait d'avoir des robes aussi décolletées attire l'attention ailleurs que sur le flou qui se trouve dessous.

Elle eut un petit rire.

Les femmes sont souvent choquées, les hommes intéressés... Mes cousettes ont fait là de la belle ouvrage, et qui remplit à merveille son office. Mais oui, la houppelande est pour tout bientôt. Ta condition de fille, Eugénie ? Tu cherches un galant ? Enfin, un galant à épouser, veux-je dire...
Eugenie_gounod a écrit:
regarde le decolleté plongeant, et ma foi, encoe fort beau de la princesse...oui il est vrai que pendant que tout le monde se fixe sur la gorge on ne regarde pas plus bas.
Que le monde est fat, ne voit que le superficiel et non l'essentiel.
Soudain une phrase attire l'attention d'Eugenie, sa maitresse lui parlait de galant


Oui votre Altesse, faut dire qu'en chemin j'ai eu des nouvelles de ma soeur, la Margot, et elle est grosse d'un galant de passage. Et je me disait que ben si ce malheur m'arrivait, je n'aurais pas de mari pour endosser ce fruit.
Enfin, je en vais pas ennuyer son Altesse avec mes histoires de galant et de mariage. Elle a, il me semble, fort affaire à gérer avec celui de sa fille, enfin je crois que ce n'est pas pour de suite non?
Armoria a écrit:
Elle haussa les épaules.

Tu sais, Eugénie, des maris qui sont bien contents de trouver le fruit sur l'arbre, on en trouve, surtout s'ils sont sûrs d'avoir une bonne place, fit-elle négligemment. Le mariage de ma fille ? Pas encore de date ni de contrat, mais cela avance, de fait. Dame, c'est qu'elle treize ans ! Il est temps qu'elle prenne mari.

Elle leva un sourcil.

Du reste, pour un mariage arrangé, je la trouve bien douce, quand elle regarde son promis. Je les soupçonne d'avoir échangé au moins un baiser. Oh, pas plus, ma fille est chaste, et le galant fort bien élevé, d'autant que je l'ai autorisé, avant la noce, à aller se... Distraire. Pas question de sauter sur ma fille comme un taureau longtemps privé, et de provoquer chez elle un blocage sur les choses de la chair.
Eugenie_gounod a écrit:
sourit en entendant Armoria parler du galant de sa fille...oh que oui il avait profiter de sa liberté. Mais elle était plus dubitative concernant la première partie du dicours
Votre altesse me surprend, maisje ne suis qu'une fille de rien, je ne vois pas ce qu'aurait à gagner un homme à venir m'epouser, surtout si fruit il y a. Non decidemment, je crosi qu'il vaut mieux que j'apprene à me garantir de l'enflure du ventre ou bien de ma trouver un époux assez rapidemment.

Pour revenir à votre fille, je ne la crois pas coupable et pis même si un baisé avait été échangé, il vaut mieux que le mariage se passe au mieux non? vous savez qu'elle tendresse j'eprouve pour Mademoiselle...d'ailleurs je ne l'ai point encore vu, ne devait-elle pas venir sur la tournée?
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